on me vole ma place, je n'ai plus l'exclusivité du logis, je suis parmis tous ceux qu'ils secourent, rien de plus, et pourtant... parfois j'existe, parfois je suis invisible, sans que je ne mette ma cape, je disparait, je parle sans qu'ils ne m'entendent, trop occupés ailleurs par ces autres... et puis en d'autres lieux c'est la même chose, elles partent, je reste, seule... il est des jours comme ces derniers où ma vie ne compte pas, où elle pèse même je crois. et puis on entend que ça a fait pleurer quelqu'un de me voir mourir, une personne sur terre se soucis de moi...
l'humeur change, les temps changent, je change... et puis la vie continue, avec ses espoirs, ses illusions...